Dans le chapitre 13 du livre de l’Apocalypse , l’apôtre Jean écrit: «Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un , et qui parlait comme un .» L’étude de cette prophétie nous démontre que cette bête symbolise une importante puissance politique ayant émergé d’un endroit peu peuplé vers la fin du XVIIIe siècle: ce sont les .
Le chapitre 13 de l’Apocalypse prédit que les États-Unis d’Amérique produiront un système qui alliera l’État et l’Église. Cette alliance engendrera un pouvoir politico-religieux que la prophétie appelle:
«La marque de la bête.»
«L’image de la bête.»
«La blessure mortelle.»
«Le nombre de la bête.»
Le chapitre 13 de l’Apocalypse demande «que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête». À l’époque de l’apôtre Jean, il existait un jeu bien connu nommé «Gematria», consistant à calculer le nombre d’un nom en additionnant la valeur numérique des lettres de ce nom. Or, les lettres du titre officiel du pape totalisent bel et bien 666. Traduit en français, ce titre est:
Souverain Pontife.
Premier Évêque de Rome.
Vicaire du Fils de Dieu.
Représentant de Dieu sur Terre.
Le livre de Deutéronome a aussi annoncé ce qui suit: «Et ces , que Je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. (...) Tu les lieras comme un signe sur tes , et ils seront comme des fronteaux entre tes .» Dieu indique ainsi que Sa loi doit être à la fois mise en pratique et gardée à l’esprit.
Mais le chapitre 13 de l’Apocalypse prédit ce qui suit: «Et [la bête] fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur droite ou sur leur , et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque.» En comparant ce verset avec celui de la Question 4, on comprend que la marque de la bête s’oppose aux de Dieu.
Dans le livre de l’Apocalypse , l’ordre suivant est donné: «Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.» Parmi les Dix Commandements de Dieu, lequel contient les trois éléments d’un sceau, soit le nom du législateur, son titre, et le territoire couvert par sa législation?
Le deuxième commandement.
Le troisième commandement.
Le quatrième commandement.
Le septième commandement.
Selon la Parole de Dieu, un sceau peut aussi constituer un signe. Le livre d’Ézéchiel nous informe que l’institution du sabbat, soit le repos du septième jour, constitue bel et bien un signe entre Dieu et Son peuple: «Sanctifiez Mes sabbats, et qu’ils soient entre Moi et vous un signe auquel on connaisse que...»
«... vous êtes sauvés par l’observation de la loi.»
«... vous êtes Juifs selon la chair.»
«... vous appartenez à l’Ancienne Alliance.»
«... Je suis l’Éternel, votre Dieu.»
L’avertissement final de Dieu, dans le livre de l’Apocalypse , nous dit: «Si quelqu’un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de Sa .» Il nous explique ensuite ce qu’il faut faire pour éviter de recevoir la marque de la bête: «C’est ici la persévérance des saints, qui gardent les de Dieu et la de Jésus.»
Tout comme le sceau de Dieu, la marque de la bête vise à être apposée sur la main et sur le front des hommes. À la Question 6, nous avons identifié ce qui constitue le sceau de Dieu parmi Ses Dix Commandements. S’opposant au sceau de Dieu, la marque de la bête sera donc:
un code appliqué sur tous les produits de consommation.
une puce électronique apposée sur la main et sur le front.
un puissant ordinateur contrôlant la vie des hommes.
l’observance du dimanche comme jour de repos.
En refusant d’adorer la bête et de recevoir sa marque, nous prendrons position pour Dieu, et notre front sera marqué du sceau de Dieu. Dans le livre de l’Apocalypse , Jésus nous promet ce qui suit: «Celui qui sera revêtu ainsi de vêtements blancs; Je n’ point son nom du Livre de Vie, et Je son nom devant Mon Père et devant Ses anges.» Si nous le désirons sincèrement, Jésus nous donnera la force de rester fidèles à Dieu, en particulier lorsque viendra le moment de choisir entre adorer Dieu et adorer la bête.